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11/02/2025
 
		11/02/2025
 
Grégoire FINIDORI, jeune adolescent, avait suivi les procès de la fin de la guerre d'Algérie.
Plus tard, il s'est intéressé notamment à la période de 1961 à 1963 où avait été mis en place un formidable système répressif avec les juridictions d'exception.
Il retrace le contexte historique, la fin de la IVème République, puis le retour au pouvoir du général de Gaulle.
Il explique comment le revirement de la politique algérienne du chef de l'état va susciter une série de crises conduisant, à partir de 1961, à la création de juridictions de pure circonstance : Haut Tribunal militaire, "petit" tribunal militaire, tribunal de l'ordre public et Cour militaire de justice.
Il nous fait revivre certaines figures de cette époque (Challe, Zeller, Jouhaud, Salan...). Il porte un regard professionnel sur ces juridictions et sur la façon dont ces affaires ont été jugées.
L'auditoire a été captivé par son récit rigoureux, documenté et précis. Nous avions tous par le passé eu connaissance de ces affaires qui paraissent lointaines aujourd'hui mais qui font partie intégrante de l'histoire de notre pays.
Grégoire FINIDORI a ainsi pu mieux éclairer notre lanterne sur cette période tumultueuse, mais non moins terrifiante pour beaucoup de familles, en nous faisant pénétrer au coeur de ce système et en nous dévoilant quelquefois un "dessous des cartes" pas très reluisant.
Si vous avez aimé cette conférence, vous adorerez son livre traitant de ces sujets, que Grégoire FINIDORI nous a proposé en fin de soirée. Vous y retrouverez tous les détails de ces affaires et certainement des vérités auxquelles vous ne vous attendiez peut-être pas !
Un formidable système répressif, par Grégoire Finidori
chez Dominique Martin Morin, éditeur.
11/02/2025
 
Grégoire FINIDORI est conseiller honoraire à la Cour de cassation. Licencié en droit, titulaire du certificat d'aptitude à la profession d'avocat, il est entré en 1972, après son service militaire, à l'Ecole nationale de la magistrature.
Il a exercé ses fonctions au parquet puis au siège, et enfin à la Chambre criminelle de la Cour de cassation de 2008 à 2016. 
Chevalier de la Légion d'honneur, il a été de 2013 à 2019, membre du collège de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
Grégoire FINIDORI, jeune adolescent, avait suivi les procès de la fin de la guerre d'Algérie.
09/02/2025
 
Discours contre l’édification d’une stèle 
en l’honneur de Gisèle Halimi
Georges Belmonte Président du Cercle Algérianiste de Bordeaux
Arès le 15/02/2025
Mesdames et Messieurs,
Nous sommes ici rassemblés aujourd’hui non pas pour diviser, mais pour dire la vérité. Non pas pour falsifier l’Histoire, mais pour la rétablir. Non pas pour effacer des mémoires, mais pour refuser qu’une mémoire amputée, partiale et orientée nous soit imposée au détriment des victimes innocentes de la barbarie terroriste du FLN. En ces temps troublés, c’est une œuvre difficile que de devoir s’insurger contre les mensonges et les contre vérités qui nous conduisent souvent sous les anathèmes de la bien pensance.
Car oui, c’est bien de cela dont il s’agit ! En honorant Gisèle Halimi, en lui érigeant une stèle, on célèbre non pas une prétendue figure de justice et d’humanisme, mais une militante engagée du côté des poseurs de bombes, une avocate qui a pris fait et cause pour les bourreaux tout en ignorant leurs victimes. Une femme qui, au nom de sa propres idéologie, a préféré défendre ceux qui ont éventré des femmes et des enfants plutôt que de condamner les atrocités qu’ils commettaient.
Une mémoire à sens unique : l’oubli des victimes du FLN
Où sont les stèles à la mémoire des femmes et des fillettes éventrées à El Halia, ce 20 août 1955, lorsque la horde du FLN s’est abattue sur ce paisible village ?
Où sont les monuments pour rappeler l’effroyable journée du 5 juillet 1962 à Oran, où des milliers d’Européens furent traqués, égorgés, disparus à jamais, sous l’œil complice des autorités françaises qui ordonnèrent aux troupes de rester l’arme au pied ?
Où est la reconnaissance pour ces familles brisées par les bombes du FLN à Alger, qui explosaient dans des cafés, des marchés, des cinémas, là où se trouvaient des mères, des vieillards, des enfants ? On veut créer un musée du Terrorisme près du Mont Valérien mais on prend soin d’en exclure tous ces malheureux qui les ont précédés comme victimes d’ignobles actes sanglants de l’arabo-islamisme du FLN.
Nous assistons aujourd’hui à une inversion des valeurs inacceptable, « un mundo al reverse » comme dit le chanteur : on glorifie ceux qui ont pris parti pour les assassins, et l’on condamne à l’oubli ceux qui ont souffert sous leur joug. On veut nous imposer une mémoire amputée, une Histoire tronquée où l’on honore ceux qui ont fermé les yeux sur l’horreur, où l’on ignore les cris des innocents assassinés.
Gisèle Halimi : un féminisme sélectif, un humanisme à géométrie variable
Gisèle Halimi fut une femme de combat, nous ne le nions pas. Mais ses combats étaient partiaux. Lorsqu’elle prenait la défense des poseuses de bombes du FLN, où était son indignation pour ces petites filles mutilées sous les gravats des attentats d’Alger ? Où était sa voix pour ces jeunes femmes, violées, battues, massacrées parce qu’elles étaient européennes ? Le Hamas n’a rien inventé.
Pire encore, elle n’a pas hésité à mépriser les harkis, ces hommes et ces femmes qui avaient choisi la France, qui avaient servi notre pays et qui, en retour, furent abandonnés à la haine vengeresse du FLN. "Les femmes harkis, malheureusement, cela existe", disait-elle avec dédain. Mais que voulait-elle dire ? Que ces femmes, ces épouses, ces mères, qui n’avaient commis d’autre crime que d’être fidèles à la France, n’avaient pas le droit d’exister ?
Les massacres des harkis en 1962 furent d’une atrocité indicible : pendaisons, énucléations, viols, tortures, brûlures à l’acide… Des milliers d’hommes et de femmes livrés à la barbarie, parce qu’ils avaient cru à la parole de la France et parce que la France leur avait donné sa Parole. Et que fit Gisèle Halimi ? Rien. Aucune dénonciation, aucun cri d’indignation. Car dans son humanisme sélectif, ces victimes ne méritaient pas sa compassion.
Nous refusons ce travestissement de l’Histoire, les limites au soutien à Halimi
Nous refusons que notre mémoire nationale soit prise en otage par ceux qui voudraient nous faire oublier les souffrances des nôtres. Nous refusons qu’un maire, au nom d’un prétendu progressisme, décide d’honorer une figure aussi controversée, sans un seul mot pour les véritables victimes.
Car si Gisèle Halimi mérite une stèle, alors où sont celles pour les femmes et enfants massacrés du Constantinois ? Où sont celles pour les harkis suppliciés ? Où sont celles pour nos compatriotes disparus le 5 juillet 1962 ? Monsieur le Maire répondait…Rien. Voilà un silence qui en dit long.
Notre présence ici est un acte de mémoire et de résistance. Nous ne laisserons pas l’Histoire être réécrite au gré des agendas idéologiques. Nous demandons que l’on honore toutes les victimes, et non une seule catégorie et en particulier des assassins et leurs soutiens, choisis arbitrairement pour servir une propagande mémorielle que nous ne subissons que trop.
Mesdames et Messieurs, aujourd’hui nous nous dressons contre l’oubli. Aujourd’hui, nous refusons l’injustice. Aujourd’hui, nous affirmons haut et fort que notre mémoire nationale ne sera pas amputée. Dans l’intérêt des générations futures nous nous devons d’être ici présent devant ce monument aux morts pour la France. Ce n’est pas au Panthéon que doit aller le corps de Gisèle Halimi mais au « maqam al-chahid » (monument aux martyrs) du FLN et du Président Tebboune qui nous insulte régulièrement.
Nous sommes outrés et notre seul tort est de le crier. Qui mieux que Bossuet, en une seule phrase, a résumé le comportement hémiplégique des « bien pensants ». Nous la faisons notre à propos du terrorisme : Dieu se rit des hommes qui se plaignent des effets dont ils chérissent les causes. Non Monsieur le Maire les générations futures ne vous remercierons pas. Honte à vous d’avoir cherché à convoquer les jeunes des écoles et des collèges pour leur asséner votre propagnande.
Vive la vérité, vive la justice, que vive la mémoire des Français d’Algérie et de leurs amis qui ont défendu une France combattante contre la dhimmitude !
01/02/2025
 
L’article dénonce un supposé complot visant à morceler l’Algérie, initié par des responsables politiques français dès 1961 et soutenu par Israël. Il affirme que ce plan, proposé par Alain Peyrefitte à Charles de Gaulle, visait à diviser l’Algérie en plusieurs zones : une zone française entre Alger et Oran, une zone sous contrôle du FLN, et un Sahara autonome sous domination française. Ce projet aurait été inspiré du modèle israélien en Palestine et aurait été rejeté par le FLN lors des Accords d’Évian.
L’auteur accuse des groupes actuels, comme le Cercle algérianiste, le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) et d’autres organisations, de servir les intérêts étrangers en visant à affaiblir l’Algérie. Il critique violemment Boualem Sansal, accusé de collaborer avec ces cercles et d’avoir soutenu une remise en question des frontières algériennes. L’arrestation de Sansal en Algérie serait, selon l’auteur, justifiée pour préserver l’intégrité du pays, malgré les protestations du Parlement européen et de personnalités politiques françaises et européennes.
L’article dénonce également l’ingérence occidentale, en particulier celle de l’Union européenne, qui a voté une résolution demandant la libération de Sansal. Il critique le Parlement européen et le gouvernement français, accusés d’être corrompus et complices des mouvements séparatistes et néocoloniaux.
L’auteur conclut en affirmant que l’Algérie est souveraine et ne cèdera pas aux pressions étrangères, rejetant toute tentative de déstabilisation ou de partition du pays.
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